N’hésitez plus, parrainez !
Près de 1000 enfants, adolescents, adultes et personnes âgées en grande difficulté reçoivent le soutien de parrains et marraines d’AMTM ; ils sont népalais, indiens, bhoutanais ou tibétains, tous ont besoin d’aide pour mener une vie décente. Le parrainage donne accès à la scolarité pour les plus jeunes et à des conditions de vie meilleures pour les plus âgés.
L’accès à l’éducation pour les jeunes
La scolarité est très onéreuse. Elle est donc totalement inaccessible à la grande majorité. Les parrainages représentent une chance formidable pour les enfants de rester dans le système éducatif et de poursuivre des études dans le « secondaire supérieur » jusqu’à l’équivalent de notre Bac et plus tard d’acquérir un métier.
Une vie décente pour les anciens
En leur permettant de subvenir à leurs besoins de nourriture et d’hébergement, les parrainages offrent aux plus anciens, qu’ils soient en communauté ou indépendants, une meilleure qualité de vie et une fin de vie digne.
Un soutien affectif pour tous
Le parrainage apporte aussi un soutien affectif, indispensable pour retrouver confiance en la vie. La venue d’une simple lettre du parrain ou de la marraine (en anglais) est un moment de joie.
Témoignages
« 25 ans de bénévolat au sein d’AMTM et mon métier de psychologue, m’ont permis de recueillir et d’observer tant de transformations grâce à vos parrainages…Chaque année, le même rituel : rencontrer de nouveaux enfants, adolescents ou personnes âgées, recueillir leurs besoins souvent cruciaux. Et puis rentrer en France pour trouver un parrain, une marraine qui accepterait de les aider… Quand c’est le cas, quelle joie car cette personne va recevoir un soutien très spécial, celui de se savoir reconnue par une autre personne, qui vit à 8 000 km de là… L’année suivante, revenir sur le terrain et constater le « mini-miracle », opéré par votre aide… La transformation se voit à l’œil nu, le regard de vos filleuls change, on sent qu’il s’est recréé du lien, que la confiance dans l’adulte, dans l’humanité se reconstruit. », Sabine Jauffret